Photos Nature

Chenille du Machaon sur une tige après avoir grignotée une partie de la feuille de carotte sauvage.

Dans les landes sèches, je trouve intéressant l’endroit, le décor, le papillon l’Agreste – Hipparchia semele, tout semble correspondre, les formes, les courbures, les couleurs… je déclenche. Mes réglages photo : iso 250, f/10.0, 1/250 s, 147 mm, Manuel, mesure matricielle.

Entre landes sèches et bord de falaises ; le papillon l’Agreste – Hipparchia semele vit tranquillement son existence. J’ai voulu créer une lumière rasante en positionnant mon flash déporté dans l’axe du papillon. Mon choix de réglage : iso 640, f/13.0, 1/400 s, 147 mm, Manuel, mesure matricielle, flash SB 900 déporté en auto i-TTL.

Linaire commune – Linaria vulgaris au bord d’un champ.

L’Aigrette garzette – Egretta garzetta en pleine concentration, pas de bruit, se déplace lentement, le regard affûté à la recherche du moindre mouvement sous l’eau.

Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis au Domaine de Careil, la réserve ornithologique. Perché en hauteur, immobile, il guette les éventuels petits poissons de passage. Un rapide plongeon précis, la puissance et la longueur de son bec font le reste.

Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis au Domaine de Careil, la réserve ornithologique. Il profite de son point de vue pour vérifier la présence d’un poisson imprudent.

Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis au Domaine de Careil, posé sur un piquet, il surveille. Le bleu, le bleu azur, l’orange dominent pour les couleurs de cet oiseau, une petite merveille de la nature

Les chenilles du papillon Le Machaon – Papilio machaon se développent petit à petit sur les carottes sauvages.

Les chenilles du papillon Le Machaon – Papilio machaon ont de quoi se restaurer parmi les plants de carottes sauvages. Photographie au flash : iso 800, f/16.0, 1/160 s, +2/3 EV, 147 mm, Manuel, mesure matricielle, flash déporté avec controleur SU-800.

Aujourd’hui, les papillons L’Agreste – Hipparchia semele se cachent dans les landes sèches pour se protéger des rafales de vent.

D’une année sur l’autre, les graines de Tournesol tombent au sol et poussent au bord du champ de maïs pour le plus grand plaisir des oiseaux, insectes et nos yeux.

Je découvre un papillon le Souci – Colias crocea au repos dans ce champ d’herbes. Je décide de réaliser une approche malgré de nombre de tiges de plantain et d’herbes qui bougent avec les rafales de vent. Très coopératif il ne va pas bouger pendant toute la série de photographies. La douceur, les gestes lents vont être très utiles dans mon approche.

Le Souci – Colias crocea au repos. Photographie au flash sb900 déporté avec un cable d’extension SC-28 iTTL.

Le Souci – Colias crocea au repos. Remarquable participation avec ce Souci. Je déplace mon flash à droite, à gauche, en arrière, en haut comme ici, il reste calme. Je suis à environ 50 cm de lui au ras du sol. Seul problème, les rafales de vent, difficile de faire la netteté en étant si près (50 cm) profondeur de champ environ 0.55 cm.

Le Souci – Colias crocea au repos. Remarquable papillon à dominante jaune, des antennes roses, les yeux verts clairs, les pattes roses, une tache blanche cerclée et entourée de brun, des petites taches brunes, une bordure des ailes rose. Le Souci se pose les ailes fermées.

Le Souci – Colias crocea au repos, accroché sur la tige d’un plantain. Il se trouve dans différents milieux ouverts comme des champs d’herbes, de trèfles, des friches, des prairies fleuries. Sa couleur jaune-safran permet de le repérer assez facilement dans la verdure.

Le Souci – Colias crocea au repos. La photographie permet de mettre en lumière la beauté des papillons. Données techniques : iso 500, f/14.0, 1/250 s, 147 mm, mode S, mesure pondérée centrale, flash sb900 en mode déporté controlé par SU-800.

Le Souci – Colias crocea au repos dans un champ, météo couverte avec rafales de vent . Pendant 20 minutes je l’ai photographié, déplacé mon flash en mode déporté sans faire de bruit ni de gestes brusques, il a été très coopératif.

Nature bretonne : un papillon Souci – Colias crocea cherche le nectar (il est sucré et riche en nutriments) des fleurs de Lamier pourpre – Lamium purpureum. Réglages photo : iso 640, f/5.6, 1/640 s, +1.3 EV, 420 mm, mode S, mesure matricielle.

Nature bretonne : un papillon Souci – Colias crocea butine des fleurs de Lamier pourpre – Lamium purpureum au bord d’un champ. Réglages photo : iso 400, f/5.6, 1/500 s, +1.3 EV, 420 mm, mode S, mesure matricielle.

Nature bretonne : juste à mes pieds, une tête verte attire mon regard, c’est un Lézard vert – Lacerta bilineata. Il se promène dans les landes sèches sur le haut des falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : Le regard du Lézard vert – Lacerta bilineata à la recherche de la moindre proie sur son domaine de landes sèches. Falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : un Lézard vert – Lacerta bilineata dans les landes sèches. Il se faufille entre les ajoncs secs en observant le moindre mouvement d’une éventuelle proie. Falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : Le Lézard vert – Lacerta bilineata surveille le contre-bas des landes sèches. Falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : Le Lézard vert – Lacerta bilineata scrute les landes sèches, à la moindre agitation il va s’élancer. Falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : Le Lézard vert – Lacerta bilineata chaque recoin, repli des landes sèches est examiné avec soin. Falaises de l’étang de l’Étunel, coté Monterfil.

Nature bretonne : je prends le temps de changer ma focale, j’installe le 105 mm macro avec le x1.4 (147 mm), comme d’habitude, j’approche doucement du Lézard vert – Lacerta bilineata, il ne prête aucune attention à ma présence. Données techniques : iso 320, f/9.0, 1/500 s, -1/3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle, flash SB 900 – TTL BL FP.

Nature bretonne : un minuscule papillon Le Collier-de-corail – Aricia agestis au bord d’un champ. Réglages photo : iso 100, f/4.8, 1/500 s, -1.3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle, Flash SB 900.

Nature bretonne : un papillon Le Collier-de-corail – Aricia agestis, à la focale de 147 mm, à une distance de 45 cm, avec f/5.0, la profondeur de champ (zone de netteté) est de 0,25 cm, donc pour bien faire la mise au point sur les yeux, il faut rester concentré, ne pas se presser, attendre le moment favorable… mais ne pas attendre que le papillon s’envole ailleurs.

Nature bretonne : un plan d’ensemble avec un papillon Souci – Colias crocea suffisament visible pour comprendre son action (le butinage). Ici, je montre l’action, le décor du lieu, l’atmosphère de cette fin d’après-midi.

Nature bretonne : cadrage plan moyen, le sujet, un papillon Souci – Colias crocea avec sa couleur jaune safran. Il butine des fleurs de Linaire commune – Linaria vulgaris. Réglages photo : iso 100, f/9.0, 1/500 s, -1.3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle.

Nature bretonne : un papillon Souci – Colias crocea butine des fleurs de Linaire commune – Linaria vulgaris au bord d’un champ. Réglages photo : iso 100, f/7.1, 1/500 s, -1.3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle, Flash SB 900

La Piéride du Chou – Pieris brassicae. Les couleurs chaudes attirent les papillons comme certaines couleurs spécifiques : le violet, l’orange etc. Le parfum de la fleur est important, la concentration du sucre du nectar est à prendre en considération. Photo en contre-jour :iso 100, f/6.3, 1/320 s, +1/3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle. Saint-Gildas-de-Rhuys

La Piéride du Chou – Pieris brassicae butinant. La tache anguleuse noire est bien visible, par transparence la tache noire en forme de boomerang est observable. Photo en contre-jour :iso 100, f/6.3, 1/320 s, +1/3 EV, 147 mm, mode S, mesure matricielle. Saint-Gildas-de-Rhuys

L’ Azuré de la Bugrane – Polyommatus icarus (mâle), photographier un si petit papillon, doté d’une bonne vivacité présente des difficultés. Se rapprocher à environ 50 cm, appareil posé au sol pour se mettre à sa hauteur, réaliser le cadragz, la mise au point rapidement. Ici la spiritrompe est sortie, ce qui ajoute une action intéressante. Si le papillon change de place, tout est à recommencer, ce qui arrive très souvent. Photo en contre-jour : iso 400, f/10.0, 1/500 s, 147 mm, mode A, mesure matricielle. Saint-Gildas-de-Rhuys

L’ Azuré de la Bugrane – Polyommatus icarus (mâle) posé au sol, l’action de la spiritrompe déroulée (canal alimentaire) est séduisante, intrigante. Photo en contre-jour : iso 400, f/10.0, 1/500 s, 147 mm, mode A, mesure matricielle. Saint-Gildas-de-Rhuys

L’ Azuré de la Bugrane – Polyommatus icarus, un mâle est attiré par une femelle qui cherche à l’attirer pour un éventuel accouplement. Saint-Gildas-de-Rhuys

Un petit sentier comme celui-ci est suffisant pour se faire plaisir avec la photographie de papillons et autres insectes. Les papillons aiment se poser au ras du sol pour se réchauffer. Saint-Gildas-de-Rhuys

La Chenille du Machaon, je la retrouve 17 jours après le dépôt de l’œuf sur une petite feuille de carotte sauvage, elle change petit à petit de couleur et elle a beaucoup grossie.

Une autre Chenille du Machaon, 17 jours après le dépôt de l’œuf. Toute noire avec des taches orange au départ, le blanc apparaît de plus en plus.

La Chenille du Machaon, 17 jours après le dépôt de l’œuf par le papillon Machaon. Le choix stratégique du papillon a été bien réalisé, la chenille a de quoi satisfaire son appêtit avec toutes ces feuilles de carottes sauvages.

Le Vulcain – Vanessa atalanta. À cinq, six mètres dans la lande sèche, j’approche délicatement sans faire de bruit, difficile car les brindilles sèches craquent au moindre de mes pas, elles crissent : bruit aigu souvent désagréable pour les papillons qui s’envolent aussitôt. De loin je pense que les ailes sont abimées mais non, il les écarte au maximum pour profiter du peu de soleil de la journée pour réchauffer son abdomen.

Je prends le temps de photographier le Fadet commun – Coenonympha pamphilus, dans un champ d’herbes.

Le Souci – Colias crocea, (femelle) se cache au ras du sol, le temps est très nuageux, la température 16°, le vent 20km/h. Je sors mon flash SB900, l’installe doucement en mode déporté avec le SU-800, puis règle et réalise la photo : iso 640, f/22.0, 1/250 s, +1/3 EV, 147 mm, manuel, mesure matricielle. Une fois la photo réalisée, je m’écarte doucement sans faire de bruit.

Je suis à peine arrivé que le Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis se pose sur un piquet pour observer en contre-bas l’eau de la réserve ornithologique de Careil puis va disparaître.

Le Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis réapparaît sur un autre piquet, observe puis disparaît, je fais de même.

Chenille du Machaon et sa première mue accrochée en dessous.

Chenille du Machaon et sa première mue accrochée en dessous. Mes réglages photos : iso 200, f/9.0, 1/200 s, -2/3 Ev, 147 mm, manuel, mesure matricielle, flash auto déporté à gauche avec déclenchement via SU-800.

Une chenille du papillon Machaon se promène dans les landes sèches.

Une chenille du papillon Machaon vient de finir une partie de son repas, au menu feuilles de carotte sauvage.

Une chenille du papillon Machaon vient de finir une partie de son repas, pas d’inquiétude il reste d’autres feuilles de carotte sauvage.

Oedipode turquoise – Oedipoda caerulescens, un criquet caché dans la mousse des landes sèches bretonnes.

Le Cuivré commun – Lycaena phlaeas, femelle déposant des œufs au bord de l’escarpement rocheux de l’Étunel.

Le Cuivré commun – Lycaena phlaeas, au bord de l’escarpement rocheux de l’Étunel. Bretagne, Brocéliande.

Bruyère cendrée – Erica cinerea dans les landes sèches bretonnes. Ici, je me positionne en contre-plongée pour avoir en arrière-plan les herbes sèches qui partent vers le ciel bleu breton. Iso 560, f/13,0, 1/500 s, 147 mm, mode A, mesure matricielle.

L’équinoxe d’automne est passé et la température de l’air s’en ressent, alors au moindre rayon de soleil, les papillons choisissent un endroit bien exposé. L’Agreste – Hipparchia semele.

À la recherche d’un papillon Souci – Colias crocea, je finis par en trouver un posé au sol à l’abri. Jaune, quelques teintes safran, les yeux verts clairs, magnifique papillon. Je dépose mon flash déporté à 20 cm derrière le papillon, règle mon D780, iso 200, f/13.0, 1/60 s, 147 mm, mode A, mesure matricielle, flash en mode i-TTL auto avec déclenchement via SU-800.

Le Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis en quête de poissons. Domaine de Careil – Réserve Ornithologique, cabane nord, 16h45, à contre-jour, mes réglages pour cette photo : iso 200, f/8.0, 1/500 s, +1 EV, 420 mm, mode S, mesure matricielle.

L’envol du Martin-pêcheur d’Europe _ Alcedo atthis. Domaine de Careil – Réserve Ornithologique. À partir de la cabane nord, 16h48, je suis à contre-jour, mes réglages pour cette photo : iso 200, f/7.1, 1/1250 s, +1/3 EV, 420 mm, mode S, mesure matricielle.

Anémones du jardin en noir-blanc. Comme chaque année, elle m’émerveille, il en faut peu pour être heureux.

En matinée, je suis avec ma tasse de café, lorsque j’aperçois un Moro-sphinx – Macroglossum stellatarum butinant des fleurs d’Abélia grandiflora. Je courre prendre mon appareil, le flash (je suis bien à l’ombre) et réalise cette photographie : mes réglages : Iso 200, f/7.1, 1/500 s, +1/3 EV, 147 mm, mamuel, mesure martricielle, flash Sb-900 déporté en auto, le tenant de la main gauche, déchenché via SU-800.

Dans les herbes un papillon Le Souci – Colias crocea, une femelle, les ailes sont abimées, sales, défraîchies, il y a du vécu.

Un papillon Le Souci – Colias crocea butine.

Un papillon Le Souci – Colias crocea se sert de sa spiritrompe admirablement pour capturer le nectar si précieux.

Un papillon Le Souci – Colias crocea, il commence à replier « à rouler » sa spiritrompe avant d’aller vers une autre fleur.

Je retrouve les chenilles du papillon Machaon – Papilio machaon, elle continuent de se développer.

Manger les tendres feuilles de la carotte sauvage pour continuer à se développer, une nécessité pour les chenilles du papillon Machaon – Papilio machaon.

Mon regard a détecté un mouvement, quelque chose vient de se poser parmi les ajoncs. Pas facile de le repérer mais environ au milieu du cliché, je vois des ailes et un « trait bleu, vert. Il n’y a plus qu’à faire une approche. Contre toute attente, le voici qui s’envole, je le vois qui se pose à plusieurs mètres. Vous avez trouvé Aeshna cyanea ?

L’ Aeshna cyanea – Æschne bleue. Je le cherche, examine, scrute, fouille du regard à droite à gauche et je finis par trouver la richesse de Brocéliande.

J’approche doucement mais pas trop lentement de peur de le voir s’envoler à nouveau. Le voici, l’Aeshna cyanea – Æschne bleue, un mâle mature, reconnaissable aux tâches bleues sur S9-S10.

La Mégère – Lasiommata megera, la femelle du Satyre, prend le soleil en cet automne.

Depuis l’intérieur du vieux tronc, l’esprist du chêne me regarde (paréidolie)

Cette femelle Agreste – Hipparchia semele, se positionne pour déposer des œufs dans les herbes sèches.

Cette femelle Agreste – Hipparchia semele, vient de déposer « coller » un œuf dans les herbes sèches. Cette petite boule ronde sous la tête du papillon, c’est l’œuf. c’est rare d’assiter à la dépose d’un œuf de papillon en pleine nature. Elle va recommencer un peu plus loin, et encore, encore, afin d’assurer l’avenir de la prochaine génération.

Cécidie du chêne, pour la petite histoire dans les années 60-65, je jouais aux billes avec les Cécidies et à chaque fois que je gagnais, je prenais une bille d’argile ou une bille en verre aux « plus riches ». Les Cécidies sont très légères mais elles sont encore gratuites.

Ceci est une Cécidie d’habitation, quelqu’un sait approprié l’endroit pour se protéger.

Le papillon L’Agreste – Hipparchia semele se chauffe et se cache discrètement. L’apparence de ses ailes se confond avec l’écorce du sapin ainsi que les roches, les mousses, les herbes sèches….

Elle se cache dans les herbes sèches mais n’échappe pas à mon regard, la Mégère – Lasiommata megera, c’est la femelle du Satyre. De profil ils sont identiques mais je l’ai vu ailes ouvertes ce qui me permet d’affirmer que c’est bien la Mégère.

Un petit passage vers les chenilles du Machaon – Papilio machaon pour m’assurer que tout va bien pour elles au bout de 22 jours d’existence.

Encore une des chenilles du papillon Le Machaon – Papilio machaon après 22 ème jour après le dépôt de l’œuf par le papillon.

Cette petite boule ronde est un œuf du papillon l’Agreste – Hipparchia semele. Il doit mesurer environ 1 à 2 millimètres de diamètre.

(Nom scientifique)Vanessa cardui – (nom vernaculaire « du pays ») La Belle-Dame mais aussi, la Vanesse de l’Artichaut, la Vanesse du Chardon, la Nymphe des Chardons, voici le pourquoi les scientifiques, naturalistes, spécialistes…préfèrent le nom scientifique avec quelque fois de légères divergences.

La Belle-Dame – Vanessa cardui passe de bruyère en bruyère sur la lande sèche. Très agréable d’apercevoir toutes ces « clochettes violettes » qui égaient le paysage.

Sympétrum strié – Sympetrum striolatum dans les landes sèches au-dessus de l’étang de l’Étunel.

Sympétrum strié – Sympetrum striolatum dans les landes sèches au-dessus de l’étang de l’Étunel. Mes réglages pour cette photographie : iso 900, f/13.0, 1/500 s, 147 mm, manuel, mesure pondérée hautes lumières.

Le Cuivré commun – Lycaena phlaeas et la Bruyère cendrée – Erica cinerea. La bruyère cendrée fleurit en fin d’été, automne, elle offre ainsi un peu de nectar aux papillons pour leur survie.

Je me rends sur les landes sèches à la recherche de l’œuf déposé la veille par le papillon L’Agreste – Hipparchia semele. Comme j’ai bien repéré l’endroit malgré la végétation et le très petit diamètre de l’œuf, je suis parvenu à le trouver.

Voici le lieu de la dépose de l’œuf, il est quasiment au milieu, la petite boule blanche. Ne vous plaignez pas, je photographie au 147 mm, imagine au 50 mm.

L’Agreste – Hipparchia semele dépose un œuf, elle le colle sur une fine herbe sèche. J’aperçois son abdomen replié son le thorax.

L’acte de dépose de l’œuf de l’Agreste – Hipparchia semele vient de se terminer, elle va partir à quelques mètres et recommencer l’opération plusieurs dizaines de fois.

Beauté de la biodiversité des landes sèches en Brocéliande, entre mousses, lichens, papillons… ici le Cuivré commun – Lycaena phlaeas émerveille avec ses ailes couleur orange et brun, les petites taches brunes…

Lycaena phlaeas – le Cuivré commun – Argus bronzé – le Bronzé, ce papillon est assez facile à reconnaître. Il y a plusieurs générations par an (on rencontre ainsi des papillons défraîchis, fatigués et des juvéniles, récents. Je rencontre ce papillon dans différents milieux.

Photographie réalisée au flash déporté dans un endroit avec peu de lumière. Iso 400, f/13.0, 1/500 s, 147 mm, manuel, mesure pondérée centrale, flash Sb-900 avec déclenchemnt via Su-800.

La chenille du Machaon – Papilio machaon se porte bien, elle continue son développement.

La chenille du Machaon – Papilio machaon au bout de la feuille de carotte sauvage continue son développement.

La chenille du Machaon – Papilio machaon en noir et blanc.

Le Cuivré commun – Lycaena phlaeas posé sur la branche sèche d’un arbuste.

Effet nuit en plein jour avec un flash déporté. J’abaisse simplement la sensibilité (pour cette photo : de 1600 iso en journée à 400 iso) je déporte mon flash en TTL auto, le flash expose correctement le papillon, l’arrière plan est sous-exposé ce qui donne cet effet.

24 ème jour après la dépose de l’œuf du papillon Machaon – Papilio machaon, la chenille se porte bien, elle grossit et s’allonge. Je ne trouve qu’une seule chenille aujourd’hui.

Le Cuivré commun – Lycaena phlaeas posé au sol dans les landes sèches de l’Étunel.